Pak Na YungÉtudiante en langue Mais IRP, j'ai pour avatar : Park Shin HyeMon nombre de récits postés sur le forum est de : 54Je suis présent(e) sur le forum depuis le : 24/06/2012
| Sujet: la vie n'est qu'une pièce de théatre ou tout le monde joue un role - Pak Na Yung Lun 25 Juin - 0:02 | |
| Pak Na Yung ft. Park Shin Hye • identity card • Date de naissance/Âge : 04/07/1992 - 19 ans • Profession/Études : Étudiante en troisième année en langue à la S.N.U... Malheureusement. • Niveau de richesse : Richissime, c'est le cas ! • Orientation sexuelle : Hétérosexuelle • Famille : Parlons de Père et de Mère avant tout. Lui, un PDG d'une grande entreprise qui lui rapporte une fortune a longueur de temps, elle, une femme douce et passionnée par la musique. Entre la fille et les parents, c'est tout beau tout rose pour la presse. Na Yung adore sa mère, elle est très liée et a même acceptée un mariage pour elle -en partie-, quand a son père c'est une relation tendue, peu de communication, juste le nécessaire pour les apparences. Elle est fille unique donc pas de frère ni de sœur cependant, elle a un marié, qu'elle aimerait bien envoyer sur la lune ou encore sous Terre. Un mariage arrangé, si seulement il était affectueux et tendre, mais non, il faut qu'elle tombe sur une pourriture violent dans ses propos et bientôt dans les gestes surement. Mais ce n'est rien, parce que de toute façon, elle n'hésite pas à aller voir ailleurs. • Signes particuliers : Depuis qu'elle est capable de marcher, de parler, elle joue du piano à merveille. Elle aurait tant voulut poursuivre dans cette voie, avoir une belle carrière comme sa mère mais ça en fut décidé autrement. Elle a eu une longue période de rébellion durant laquelle elle s'est fait faire un piercing au nombril et un tatouage sur les bas des reins représentant simplement un papillon avec l'inscription " liberté". Na Yung est une femme libre coincée entre le devoir et ses envies.
| light goes on again |
« phrase ou citation correspondant à votre personne. » • your history I. princesse, princesse, tu es bien jolie --- princesse sarah Tout a commencé avant sa naissance même. Un homme et une femme, un mariage grandiose à séoul, ville ou les deux jeunes gens d'à peine 20 ans étaient tombés fou amoureux l'un de l'autre après avoir été fiancés par leurs parents. La jeune femme tombe enceinte quelques temps après leur nuit de noce. D'après les échographies, il s'agissait d'une petite fille et les futurs parents étaient aux anges bien que le père aurait aimé avoir un garçon. C'est le quatre juillet à exactement une heure du matin que la poche d'eau se brisa et qu'il était temps pour la future mère de rejoindre un hôpital rapidement. Dans la salle de travail, elle hurla pendant plus de six heures et finalement, tout était finit. Les médecins étaient inquiets. La mère allait bien, le père ne savait pas quoi dire à celle ci pour qu'elle reste allongée et qu'elle ne panique pas. Le cœur de l'enfant ne battait pas, elle ne pleurait pas, ne bougeait pas. Elle était morte née, elle avait à peine vécue que les médecins annoncé déjà la mort de l'enfant « Park Na Yung » C'était le nom que le père a donné pour l'acte de décès mais voilà.. Il faut croire aux miracles, c'est un miracle. C'est au moment ou personne ne regardait, que la jeune femme était seule avec sa fille, blottie contre elle, qu'elle la vit réagir, l'enfant avait bougé ! Le coeur s'était relancé, doucement au point que personne n'avait vu le changement. La mère et le petit bébé ont été synchro pour les pleures. Elle a fondu en larme en hurlant qu'un médecin vienne quand elle l'a entendu pleurer. Les médecins n'ont pas vraiment compris. Ils disent que son cœur devait être très faible, qu'il était possible que la machine ne détectait pas les battements. Mais rassurez vous, elle est bel et bien vivante.. Son nom, Park Na Yung, née le 4 juillet à sept heures du matin, le petit miracle de ses parents. II. So crawl inside my head with me. I'll show you how it feels to be to blame like me --- schizophrenic conversation, staind « Na Yung ! Je te présente ton futur époux. Hyun Dak Ho » Son père se tenait là, face à elle alors qu'elle revenait tout juste de la bibliothèque avec ses amies -enfin c'était l’excuse officielle-. Elle était surtout passée chez l'esthéticienne pour un soin de la peau et une manucure. Quand on s'aime, y'a pas de raison de ne pas avoir ce genre de privilèges de temps à autre. Elle était donc de bonne humeur, se sentant propre, belle, radieuse, souriante. Mais ce dernier point disparut bien vite à la vitesse des paroles de son paternel. « Quoi ? Mais.. mais.. NON ! » Elle avait finalement osé lever la voix pour montrer son mécontentement, serrant dans sa main son sac de court où il y avait plus de maquillage que de bouquins. Mais peut importe, elle se retrouve avec un fiancé alors qu'elle n'a rien demandé, avec un homme qui a probablement le double de son âge et surtout, qui a l'air vraiment pas sympathique. Alors elle finit par rejoindre sa chambre, hurlant des "non" a tue tête avant de s'enfermer. Pourquoi son père décide t-il de la marier, contre son gré qui plus est, avec un vieux pervers dont la tête lui sort déjà par les yeux. Il aurait pu trouver au moins un jeune homme séduisant, intelligent et passionné de musique, quelqu'un d'attentionné et qui la traiterait comme une princesse. Mais non, en à peine deux minutes, Na Yung a déjà comprit que sa vie avec lui serait un enfer alors c'est simple, elle refuse catégoriquement cette union. C'est un soir, deux mois plus tard, qu'elle s'était réfugier dans la salle de musique utilisait par sa mère et elle même quand elles ont besoin de réfléchir, de parler. Na Yung était au piano, laissant simplement ses doigts effleurer les touches blanches puis noires sans forcer, laissant simplement la musique envahir la pièce insonorisée. C'est là, qu'elle fût rejoint par sa mère qui prit place a coté d'elle et qui, doucement, entreprit de dévier sur une partition à quatre mains. « Trésor.. Fais ça pour moi. Tu verras, tout ira bien. » Sa mère l'avait toujours appelée ainsi, parce qu'elle disait que depuis sa naissance, rien d'autre n'avait plus de valeur à ses yeux. La demoiselle savait très bien de quoi elle parlait, qu'elle parlait de cet homme et de leurs fiançailles idiotes. A la fin de la mélodie, elle posa ses mains sur ses genoux pour souffler tristement. « Laisse moi y réfléchir. » Elle savait qu'elle accepterait, pour sa mère, pour ne pas être renier cependant, avant que le jour ou elle renonce à sa liberté n'arrive, elle fera les quatre cent coups : piercing, tatouage, soirée alcoolisée ou elle finit avec on-ne-sait-qui, soirée ou elle fut tellement ivre qu'elle ne se souvenait même pas de ses bêtises. III. s'il est comme je l'attend ou même autrement. Je prend ce qu'il me va --- l'amour ne se commande pas, ginie line « Na Yung ? Alors, choisis l’hôte, c'est ton soir ! » Ce soir là était son enterrement de vie de jeune fille, où plutôt appelé "le soir ou elle devient prisonnière". Pour qu'elle puisse penser à autre chose qu'à ce qui l'attend le lendemain matin, ses amies l'ont amené dans un club d'hôtes devenu populaire. Elles s'étaient installées à une table dans l'ombre, elles voyaient tout mais peu de gens pouvait les apercevoir, c'est ainsi qu'elle le remarqua, lui, l'unique homme qui lui serra le cœur. Elle ne sait ce qui lui a frappé d'avantage, son physique surement après tout, c'est la première chose qu'elle a vu et c'est cela qui lui a fait décidé de choisir « Lui... » Quelques minutes plus tard seulement, le voilà assit à ses cotés, et elle, complétement hypnotisé par ses yeux, ses lèvres, sa manière de sourire. Elle s'était demandée à ce moment à, pourquoi il a fallut qu'elle le rencontre la veille de son mariage, pourquoi elle n'avait pas de temps devant elle. La soirée se passa rapidement, beaucoup trop vite à ses yeux. Depuis ce soir là, elle est sa meilleure cliente, depuis ce soir là, elle est amoureuse. Plusieurs fois par semaine, elle est là et ne réclame que lui, elle pense des fortunes pour le voir, lui parler lui sourire. Mais pour Na Yung, tout cela va bien au delà de son hôte, elle veut connaitre l'homme, savoir qui il est véritablement. IV. je bascule à l'horizontal. démissionne ma vie, verticale. ma pensée se fige, animal. abandon du moi, plus d'émoi. --- comme j'ai mal, mylène farmer « Oui.. je le veux. » Ayer, son destin, son avenir, ses rêves, tout est fichu. Elle a dit oui a tout ce qu'elle déteste, à cet homme qui la dégoute, à cet homme si froid et si vieux. Elle a dis oui, alors que son cœur hurle non. Pourquoi doit-elle se lier à cet homme qu'elle déteste, lier à cet créature sans cœur et sans gentillesse. Aujourd'hui, ça devait être le plus beau jour de sa vie et malheureusement, il s'agit en réalité du pire. Pourquoi fait-elle cela, pourquoi se sacrifie t-elle ainsi. Elle n'ose même pas regarder celui qui est désormais son époux, celui avec qui elle va devoir partager sa vie. Elle soupire, elle ne cache pas son regard triste, sa moue dégoutée rien qu'à voir l'homme qui se tient face à elle. « Vous pouvez embrasser la mariée » Il ne manquait plus que cela pour son malheur soit réel. Aux yeux de tout les invités, c'était le couple parfait. Une héritière fortuné et un homme tout aussi riche. C'est bon pour les affaires, la réputation, le commerce mais pas du tout pour celle qui porte une magnifique robe blanche de grand couturier sur le dos. Pourtant, elle a toujours rêvé de porter ce genre de robe quand elle était plus jeune, mais aujourd'hui, elle aurait préféré avoir un pantalon de toile vieux comme le monde plutôt que d'épouser cet homme. Mais peu importe, tout est fini, elle est désormais mariée, pour le malheur et le pire ! Lors de la soirée en l'honneur des jeunes mariées, elle ne sait pas amusée, mais alors pas du tout. Une danse forcée avec son époux, une avec son père et elle a passé la soirée à sa table, entre deux tours vers lui cuisine pour "vérifier que tout allait bien". Mais, elle préférait de loin faire les yeux doux aux serveurs plutôt que de supporter un diner avec des abruties qui la croient heureuse. Mais le plus dur dans tout cela, c'est leur nuit de noce. Elle était sagement partie se coucher, se mettre au lit pour dormir, fatiguée par tout ces faux-semblant. Mais la nuit fut plus douloureuse et plus longue que prévue. Comment a t-elle pu croire qu'il la laisserait tranquille ? Il l'a touché, elle a refusé, encore et encore mais au final, elle s'est juste laisser faire en retenant une larme. Elle a dut se laisser aller, le laisser la toucher, le laisser se glisser en elle. Il poussait des râles de plaisir, elle était dégoutée. Il prit on pied, elle a cru mourir sur place. Une fois son affaire faites, il l'a laissé là, lui tournant le dos pour dormir alors que pour la première fois depuis des années, elle se sentit sale. Elle n'a pas dormit de la nuit, elle l'a sagement passé sous la douche, sous l'eau chaude qui nettoyer cette sensation horrible d'être souillée, se mêlant à ses larmes. Mais, après ce jour, plus jamais elle ne le laissa la toucher. V. le temps passe passe passe et beaucoup de choses ont changé --- le bilan, neg marrons « Je suis ton mari, j'ai le droit de te toucher ! Tu... Tu n'es qu'une salope ! » Sans un mot de plus, elle a quitté la pièce puis la maison où elle vit depuis trois ans maintenant. Le soleil était déjà couché, la pluie tombait violemment sur le sol et en a peine quelques secondes, la voilà trempée jusqu'au os. Elle pleurait, mais les gouttes d'eau de la pluie ont tout caché, tout effacé. Elle venait de s’engueuler une fois de plus avec cet enfoiré qui lui sert de mari. Elle finit par avancer le long de la rue ou était sa grande maison, puis elle s'élance, l'air perdue, triste et anéantie. Instinctivement, elle s'élance dans la ville, dans un quartier qu'elle connait si bien, celui ou elle sait qu'elle ira bien, qu'elle sera là ou elle se sent bien, avec la personne qu'elle désir. Devant le club d'hôte, on l'a reconnait rapidement et d'une petite voix étrangler elle réclame « Il est là ? » Rapidement, on sait de qui elle parle. Après des années à venir, on commence a la connaitre, à savoir qu'elle ne vient voir que lui et uniquement lui, qu'elle est jalouse quand il a d'autre clientes, mais au fond, elle s'en moque les autres apprécie l'hôte mais elle s'est plus profond ça, elle est sous le charme de l'homme qui se cache derrière tout cela. On l'a fait entrer t on lui propose de quoi se sécher, elle accepte avant de rejoindre sa table habituelle. Elle attend, sagement, sans un mot puis enfin, elle voit son sourire. Là, elle en oublie ses problèmes, se marie qui veut la toucher mais dont elle refuse le contacte depuis cette nuit de noces, elle oublie qu'il était avec une autre avant elle. « Je crois que... Je vais rester là un petit moment » Fit-elle simplement en lui adressant un tendre sourire. • Light goes on again... & you • Votre plus grand rêve : "Retrouvez ma liberté, ne plus avoir a suivre les décisions que l'ont prend pour moi, pouvoir choisir ce que je veux faire, qui je veux être sans avoir a me soucier du reste. Jouer du piano jusqu'à en avoir les doigts douloureux, ne plus me sentir sale, ne plus avoir a le voir, vivre ma vie comme je l'entend.. Ça fait beaucoup, n'est-ce pas ? " • Connaissez vous ce site (si oui qu’en pensez vous ?) : "Oui, je connais, j'ai voulu m'y inscrire plus d'une fois mais je n'ai jamais eu le courage de demander de l'aide à mes problèmes. C'est un bon concept, c'est beau de permettre aux gens de croire de nouveau en leurs rêves. Cependant, je me demande si les répercutions de tout cela ne rend pas la vie des gens encore pire qu'avant, enfin, quand il s'agit d'un rêve qui change toute une vie évidement. " • Votre pseudo sur le site (uniquement sur ce dernier) : Raiponce
• Behind the screen • Pseudo ou prénom : Rain' • Âge : bientôt 23 ans • Temps de connexion : pour le moment, 4/7 jours • Un commentaire ? : Magnifique le forum :) • Comment avez vous connu le forum ? : top rpg • Avez vous lu le règlement ? : believe in your dreams • Exemple RPG : - Spoiler:
Ca fait déjà une semaine que le père de Hermione lui reparle, il prend de ses nouvelles et des nouvelles du petit. Mais voilà, il y a une semaine également, il a demandé a rencontrer son gendre, l'homme non " le gamin" qui a mit sa fille enceinte et celui qui l'a épousé. C'est normal après tout, il veut connaitre ce garcon, voir s'il est vraiment digne de sa fille, s'il est capable de réellement la rendre heureuse et d'élever leur petit-fils ensuite. Sa mère, veut savoir a quoi ressemble celui que sa fille décrit avec tant d'émotion, d'amour et de tendresse, celui qui d'après elle le plus beau et le plus adorable. Elle veut aussi savoir à quoi ressemble le gamin qui a pourri la vie de sa fille durant cinq ans avant de pourri son futur en lui faisant un enfant. Ouai, sympa les parents mais eux, au moins, n'ont pas de baguette magique et à part un coup de poêle, ils ne risquent rien de bien grave. Elle avait donc prévenue son époux par hiboux, plusieurs fois, elle en avait même parler à Pansy pour que celle lui le lui rappel et le force un peu a accepter mais rien à faire, le jour J, a une heure et demi du rendez vous chez les parents, il était en retard. Alors elle soupire, elle a attendu, déjà doucher, déjà habillée dans sa petite robe noir mettant son ventre en valeur pour la première fois. Parce que là, elle a besoin de le montrer, rappeler a ses parents qu'elle doit faire attention au stresse, à l'angoisse, à la colère pour son bien et celui du bébé par la suite. Mais non, le voilà qui arrive et se lance directement vers la salle de bain pour être sur de ne pas se faire agripper. Il ferme la porte et elle entre aussitôt, restant donc dans la salle de bain sans pour autant aller plus loin, il est déjà sous la douche, sous l'eau, le salop ! « Rien a faire ! J'irai pas et d'ailleurs, je sort pas de cette douche ! Tu m'as pris en traitre ! Je viens te voir en douce de l'école et au lieu d'un câlin, j'ai droit a ton père ! En plus, je me sens pas bien ! » Elle lache un petit rire jaune, il ne se sent pas bien ! Il croit pouvoir la prendre pour une idiote mais non, elle est déjà suffisament énervée contre lui et son refus de voir ses parents pour le croire tout bonnement. Elle croise les bras au dessus de son ventre alors qu'elle attrape une serviette posée non loin d'elle. « Tu ne te sens pas bien ? Pourtant c'est moi qui subit les nausées et les vertiges à longueur de journée. » Elle grogne à nouveau, attendant une réponse alors qu'il ne quitte toujours pas la cabine de douche au grand damne de la future maman. « C'est pas du jeu ! Quand j'ai dit oui, c'était pour toi pas pour tes parents ! Es que moi je t'oblige a voir les miens ?! Et ben non, voilà ! Alors qu'au finale, le tiens aussi veut ma mort ! C'est pas toi qui a dit qu'il allait m'attendre avec une hache a la main sur le pas de la porte ?! … Ha non, laisse tombé, c'est Théo qui m'a dit ça… Et il a pas tord ». Elle soupire. Non mais, son père avec une hache, c'est quoi ce bordel ? Certes il est énervé contre Drago et il ne risque pas de l'aimer de si tôt mais son père n'est pas un homme violent ni un assassin et il ne lèverait certainement pas la main sur le petit-ami... le mari de sa fille chérie. Hermione soupire de plus belle, non mais Théo, il lui met des idées dans la tête celui là ! Elle grogne de plus belle, jamais elle n'aura grogner aussi souvent qu'en se début de soirée. « Tu ne m'amene pas voir les tiens parce que tu veux pas leur dire que t'es marié et bientot père avec une née moldu ! Contrairement à tes parents, les miens sont inoffensifs et veulent simplement connaitre l'homme que j'ai choisi ! Théodore dit des conneries ! Mes parents vivent au coeur de Londres, ils sont dentistes et non pas chasseur ou policiers ! Alors sort de là ! » Finit-elle en lui balançant la serviette qu'elle avait prise en entrant un peu plus tôt. Les mains revenant se croiser au dessus de son ventre rond, elle grogne de plus belle quand elle remarque qu'il n'a aucune intention de sortir. Elle grimace alors, une main se posant sur son ventre alors qu'elle grogne de plus belle. Il va pas s'y mettre le petit à bouger dans tout les sens et donner à sa maman chérie, encore plus envie de vomir que le matin en se relevant. Parce qu'elle n'a plus de potion anti-vomitif et qu'elle n'est pas encore aller au chemin de traverses pour en acheter, ni même envoyé un elfe pour cela. Bref, elle en profite pour se recoiffer rapidement, saisissant sa baguette pou r lancé un sort de lissage sur ses cheveux qui redeviennent plats comme des baguettes. Elle en revient à son époux, attrapant finalement un gant de toilettes qu'elle lui balance avant qu'il ne frappe la parois. « Chéri, juste une fois, juste ce soir, juste pour UN diner ! Ma mère veut savoir à quoi ressemblera son petit fils et mon père veut juste faire son discours de méchant-papa. Il me reparle depuis peu, alors s'il te plait.. Fais le pour moi, pour ton fils... Je saurais te remercier. » C'est une petite garce quand elle veut, le coup du " fais le pour moi", ne lui donne pas trop de choix, mais en plus elle parle de remerciement et au vu du ton de sa fois pour cette dernière phrase, elle sous entend bien des choses. Elle fait un pas vers la cabine de douche, attendant simplement qu'il sort de là, prenant la serviette de bain tombée au sol quand elle l'a lancé.
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