Yang Ho JooMannequin Mais IRP, j'ai pour avatar : Sin Gwang ChulJe suis âgé(e) de : 30Mon nombre de récits postés sur le forum est de : 33Je suis présent(e) sur le forum depuis le : 08/05/2012
| Sujet: Yang Ho Joo ~ Una Foto en Blanco y Negro Mar 8 Mai - 21:03 | |
| Yang Ho Joo ft. Kim Hui Dae • identity card • Date de naissance/Âge : 13/06/1993 & 18 ans. • Profession/Études : Mannequin, on va dire ça. • Niveau de richesse : Très très très pauvre. • Orientation sexuelle : Hétérosexuel et compte le rester. • Famille : Mes parents biologiques sont morts quand je n'étais qu'un bébé, mes parents adoptifs sont aujourd'hui sous de fausses identités dans un pays d'Amérique du sud. Où ? Ne me demandez pas, ils ne l'ont pas dit... Et j'ai aussi un grand frère, logiquement, s'il est encore en vie. • Signes particuliers : J'ai deux identités : En Espagne, on me connait sous le nom de Otero de Herreros Iban & tout récemment j'ai repris ma vraie identité : Yang Ho Joo. Je parle l'Espagnol couramment, au contraire mon niveau de coréen est parfois un peu basique... mais on me pardonne, enfin j'espère. Une cicatrice derrière mon oreille : le seul souvenir que j'ai de cet accident.
| light goes on again |
« Je n'existe pas, je suis un ange perdu, je n'existe pas,. Dis moi te souviendras tu du visage de l'ange perdu ? » • your history Ma vie, ma vie… est relativement complexe.
Ma vie en Corée fut relativement courte, quand mes parents biologiques moururent d’un accident de voitures je n’étais qu’un simple bébé. Une famille espagnole, celle de mes parents adoptifs, décidèrent de m’adopter, ceux-ci se trouvant dans une situation un peu délicate : ma mère adoptive étant incapable de pouvoir engendrer un enfant.
Cette famille, ma famille pouvait-on dire se trouvait alors d’un milieu particulièrement riche, ceci dirigeants d’une grande entreprise de construction dans la ville de Madrid. Même si je n’étais qu’un fils adoptif, ça aurait dû être moi l’héritier de cette grande entreprise lorsque j’aurais été capable de la diriger, dans de nombreuses années, après avoir obtenu tous mes diplômes et l’expérience requise pour un poste de ce prestige. Je vivais alors dans des conditions de vie plus que décente, ma famille possédant un grand appartement de luxe dans l’avenue la plus chère de cette capitale. Ainsi, on peut dire que je fréquentais les écoles les plus chères de ce pays qu’était l’Espagne, en compagnie des futurs dirigeants, qui pouvaient être mes amis sous certaines conditions. Logiquement, je n’avais pas eu à fréquenter réellement le bas peuple si ce n’était dans les rues commerciales ou dans les rues, voir les grands monuments historiques et touristiques, quelquefois. Les transports en commun certes très performants à Madrid, je ne les utilisais pas dans ma vie, ma famille disposant de limousines privées, je n’avais aucune raison ou prétexte pour l’utiliser. Les lieux que je fréquentais avaient toujours été peuplés d’hommes riches, ou de familles riches, ainsi je n’avais pas d’amis de la classe moyenne et pauvre. Mes parents ayant toujours pris soin de diriger ma vie, choisissant mes amis et mes fréquentations en fonction des revenus de leurs parents et de la place qu’ils occupaient dans le monde des entreprises et des finances.
Malgré l’image que l’on pouvait avoir des riches dans ce monde, on pouvait dire que j'étais quelqu’un de relativement différent, même si mes parents m’avaient toujours appris à trier mes connaissances selon leur argent, je n'étais pas quelqu’un de relativement coincé ou qui se trouvait très refermé sur lui-même. Le fait que j'étais peut-être un enfant adopté a changé cette donne.
Dans ma ville, j’étais quelqu’un de véritablement ouvert et sympathique, n’hésitant pas à venir au secours d’une quelconque personne qui aurait besoin d’aide, n’hésitant pas à engager la discussion avec elle. Si une personne me demandait le chemin ou un quelconque renseignement, je lui répondais avec le sourire, et je ne le regardais nullement de haut, ni me croyais supérieur. C’était sans doute la différence d’avec mes « amis » de l’époque qui regardait les autres personnes d’un air hautain et froid. Je considérais tous les hommes de la même manière, un de mes défauts selon mes parents qui auraient voulu que je pensais comme eux. J’aurais toujours aimé avoir un ami qui ne se trouvait pas de la classe riche mais malheureusement, je n’avais jamais eu la chance de fréquenter véritablement dans la rue ses personnes. Le seul contact que j’eus est celui d’un jeune homme qui vivait en banlieue, au travers d’internet et de Twitter avec qui j’échangeais de nombreuses discussions mais sans jamais le rencontrer, ma famille surveillant bien trop mes faits et gestes en dehors de notre logement.
J’aurais dû sans aucun doute finir ma vie ainsi, marié peut-être à une femme soigneusement choisie par mes parents à cette époque mais l’avenir de notre famille bascula vers le réel cauchemar il y a seulement quelques mois. La crise frappait l’Espagne, nous avions cru y échapper mais peu à peu l’entreprise de ma famille fut touchée, jusqu’à tomber dans la faillite la plus totale. Bien entendu, on aurait pu s’en sortir, recommencer une vie à Madrid si mes parents n’avaient pas décidé d’agir d’une manière égoïste et bien inhumaine à mes yeux. Du jour au lendemain, ils décidèrent de quitter ce pays pour s’installer dans un pays d’Amérique du Sud sous une autre identité, pour l’unique raison de ne jamais payer, malgré l’argent qu’on possédait, les centaines, voire les milliers d’employés que composaient notre emprise et ses ces nombreuses filiales.
Moi ? Ils décidèrent de ne pas m’emmener avec eux là-bas, la raison je ne la saurais sans doute jamais. Je me rappelle juste qu’un matin, je me réveillais, notre appartement se retrouvant vide de leur présence. J’avais trouvé une lettre où ils m’expliquaient qu’ils avaient décidé de fuir le pays, lâches qu’ils étaient, pour rejoindre l’Amérique et recommencer leur vie, ne voulant nullement affronter ces milliers d’employés qui se retrouvaient à présent tous au chômage. Ils m’avaient seulement laissé près de cette lettre un passeport coréen, acquis par mes origines, un billet aller pour Séoul et un peu d’argent pour que je pusse recommencer ma vie à Séoul, et le tout uniquement accompagné de la seule photo que j’avais eu de ma famille biologique, une photo en noir et blanc où on pouvait voir mes parents, mon grand-frère et moi, qui n’était qu’un bébé. S’ils ne m’avaient donné que peu d’argent, il paraissait que c’était seulement pour que je me fonde dans la foule et n’attire nullement l’attention sur mes origines. Un vol qui se trouvait au départ seulement quelques heures plus tard, ne me laissant nullement le temps de dire au revoir à mes amis ou à quiconque d’autres. Je devais donc en quelques heures choisir les vêtements les plus banals de mon armoire pour ne nullement attirer l’attention sur leur richesse et je pris malgré leur interdiction le seul bracelet qui avait de l’importance à mes yeux, un bracelet en argent massif de grandes valeurs monétaires, mais qui à mes yeux représentait cette famille que j’avais aimé malgré le fait qu’ils avaient été toujours particulièrement inhumains. Lâche, sans doute que je l’avais été à ce moment-là, comme mes parents, bien incapable d’assumer l’acte de mes parents, en suivant soigneusement leurs ordres, celui de disparaitre de la ville de Madrid et recommencer ma vie en Corée du Sud, celle-ci se trouvant être ma mère patrie.
Bien entendu, si je décidai de venir en ce pays ce ne fut nullement que pour ce fait, s’il y avait bien une chose que j’avais toujours voulu malgré moi, c’était bien de vouloir de retrouver ce frère que j’avais perdu quand je n’étais qu’un simple bébé, retrouver ses origines, ses gênes, ne pouvaient qu’être bénéfiques.
Je n’eus aucun mal à passer les frontières de l’Espagne en partant en avion, à ce moment-là, l’avis de recherche sur ma famille n’étant pas alors prononcé. Ce n’est qu’un jour après la disparition de ma famille en ces lieux que la Police se mit à nous chercher, seulement, ceux-ci ne connaissant que mon nom espagnol, ils ne pouvaient faire le lien même encore aujourd’hui. Ils devaient croire que j’accompagnais mes parents en Amérique du Sud, la police ayant découvert malgré leur discrétion qu’ils s’étaient enfuis là-bas.
Mon arrivée à Séoul fut véritablement un choc pour moi, la différence de culture étant bien trop importante pour que je puisse m’adapter simplement. Ne parlant que peu le coréen, si ce n’était les quelques cours que j’avais pris il y avait quelques années, l’arrivée fut très chaotique. Je n’avais nulle part où aller, ni où travailler, je ne savais nullement quoi faire. J’avais tout et pour tout qu’un seul bagage de sport où se concentrait mes quelques affaires. Je réussis à vivre quelques semaines sans dépenser trop d’argent mais mon manque de connaissance de langues m’empêchait de trouver un quelconque travail, ne pouvant nullement reprendre l’école d’une quelconque manière, n’ayant pas assez d’argent.
Néanmoins, bien trop heureux et naïf à l’époque, je réussis à trouver un emploi à ce qui paraissait à être un mannequin pour une petite entreprise d’un des quartiers de Séoul. Il suffisait simplement que je fasse mannequin pour toucher un revenu qui semblait assez conséquent…. Ne maitrisant nullement le coréen, je signai le contrat sans savoir vraiment ce qui composait réellement ce contrat. Seulement, je me suis vite rendu compte que je m’étais fait avoir, ayant signé un contrat d’exclusivité pour une durée de 30 ans, me retrouvant incapable de pouvoir démissionner volontairement et devenant modèle dans des conditions sans aucun doute un peu douteuse, logeant dans un logement vraiment miteux. Faire des photos quasi nu sous des rires d’hommes, n’était pas ce que j’imaginais être mon travail de mannequin.
M’en sortir ? Je ne sais pas si cela est résolument possible au jour d’aujourd’hui, si je me dirige vers la police, sans aucun doute qu’ils remarqueront que je suis « étranger » et qu’ils vont retrouver ma véritable identité, me ramenant directement en Espagne et devant répondre aux actes de mes parents lâches. S’ils ne peuvent pas juger mes parents, ils me jugeront moi et je risque de terminer mes jours en prison… Alors, j’attends patiemment de trouver une solution à mon problème, espérant un jour pouvoir m’enfuir loin de ses hommes qui seront toujours capable de me retrouver, ceux-ci travaillant pour une famille mafieuse. Ainsi, si je n’arrive un jour pas à me lever pour venir au studio, ils sont capables de venir me chercher et me forcer à y aller, malades ou non. Je ne connais pas cette ville, je ne peux nullement m’enfuir, surtout pas alors que je sais que l’on peut me retrouver quoiqu’il arrive.
• Light goes on again... & you • Votre plus grand rêve : Retrouver mon grand frère. • Connaissez vous ce site (si oui qu’en pensez vous ?) : J'ai vaguement entendu ce nom une fois dans la rue mais vu que les personnes parlaient coréens, ne me demandez pas ce que c'est, vraiment pas. • Votre pseudo sur le site (uniquement sur ce dernier) : Niflheim
• Behind the screen • Pseudo ou prénom : Sukkie • Âge : 21 ans. • Temps de connexion : 7/7 • Un commentaire ? : Me revoiiiila AHAHAH. • Comment avez vous connu le forum ? : Quelle question èé • Avez vous lu le règlement ? : Validé par Coo.• Exemple RPG : - Spoiler:
Lonely Boy, un nom qui pouvait seulement la guider au milieu de la foule à trouver un homme, un homme qui tout comme elle devait porter ce magnifique masque vénitien. Un homme qui ne devait nullement se trouver statique, qui arpentait comme elle, chacune des pièces de ce bateau de luxe à sa recherche. Nana avait sagement suivi les consignes inscrites lettre qu’elle avait reçue chez elle, quelques heures auparavant, portant cette robe de cocktail beige parfaitement ajustée à sa taille. Un détail étrange à ses yeux, c’était comme si ce mystérieux LGOA avait pu connaitre ses mensurations au centimètre près ! Lorsqu’elle s’était inscrite sur ce site, jamais elle n’avait eu à les inscrire pour répondre aux questions. L’homme ou la femme qui gérait cet incroyable site devait incontestablement être observateur et très bien informé, un détective privé peut-être ?
Une question qui resta sans réponses alors qu’elle pénétrait à nouveau dans une pièce aussi remplie de monde que la première, elle ne put alors que laisser un léger soupir d’exaspération. Nana était particulièrement connue pour avoir une patience à rude épreuve, passer ses journées avec des garçons de 20 ans y était pour beaucoup, mais en ce jour sa patience semblait avoir disparu seulement au bout de quelques minutes. Nana n’avait jamais été habitué à fréquenter ce genre de fêtes au cours de son existence, même si sa famille se trouvait être particulièrement aisé. Son père n’avait jamais souhaité que son frère, tout comme elle, eut à fréquenter ce genre d’endroit empli d’hypocrisie et de personnes plus hautaines les unes que les autres… et elle n’en pouvait qu’être reconnaissante alors en cet instant. Supporter toute l’odeur des parfums, mélangés à l’alcool, n’était réellement pas une bonne odeur, oh non. Il fallait qu’elle trouve très rapidement cet homme, au risque de s’asphyxier et manquer d’air.
Il ne fallut quelques minutes de plus pour que son souhait se réalise à son plus grand soulagement. Une silhouette apparut à ses côtés et une main se posa tout simplement contre son épaule pour attirer son attention. Nana releva alors doucement les yeux vers cette personne et eut le plaisir de voir sur le visage de la personne le même masque que le sien, un masque aux vêtements qu’ils portaient. Les mots prononcés par ce jeune homme lui mirent du baume au cœur alors qu’il lui demandait d’une voix solennelle si elle se trouvait être « Corazon ». Elle hocha la tête alors lui offrant un doux sourire avant de lui répondre d’une voix simple et agréable : « Je suis enchantée de te rencontrer « lonely boy », je suis bien « Corazon ». Je suis bien heureuse que tu m’aies retrouvé si rapidement, je crois que j’aurais toujours un peu de mal avec ses soirées mondaines, je crois que toute cette superficialité n’est pas vraiment pour moi… »
Elle manqua de dire en cet instant que le fait de porter une robe était aussi étrange et incommodant à ses yeux ! Non, qu’elle complexait ou qu’elle se trouvait grosse, elle n’avait seulement pas l’habitude d’en porter, préférant un simple jean ou à la limité une jupe mais porter une robe de cocktail était particulièrement nouveau et elle pensait particulièrement se sentir toujours mal dans cette robe.
« J’espère que tu n’attends pas depuis trop longtemps… « lonely boy » dans cette incroyable foule. En tout cas, j’espère que l’on passera une bonne soirée même si elle risque d’être remplie de vraies surprises, j’en suis persuadé. Je ne connais pas trop le principe des soirées de ce mystérieux LGOA alors je m’attends à tout, enfin… je suppose que quoiqu’il arrive cela ira sans doute toujours dans le sens de tenter de faire disparaitre un peu d’individualisme. »
Elle termina ses mots avec un beau sourire vers la personne mystérieuse qui l’attendait. Bien entendu que lorsqu’elle parlait il avait dû entendre un peu son accent japonais, même si elle perdait au fil des années un peu celui-ci, on ne pouvait nullement effacer sa langue d’origine. Sa couleur de peau dénudée grâce à cette robe ne pouvait que montrer la différence, les coréennes avaient la peau bien plus blanche que la sienne et d’un autre teint. Elle ne pourrait nullement nier ses origines en cette soirée, nullement. Sans aucun doute que le jeune homme avait dû remarquer que Nana se trouvait loin d’être timide avec un inconnu, un homme inconnu, son métier de manager l’avait forgé et fait en sorte que sa timidité disparaisse presque entièrement. Aujourd’hui Nana était une adulte accomplie qui n’avait peur de rien, ou presque.]
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Lee Bo MiAssistante journaliste à K.B.S Mais IRP, j'ai pour avatar : Park Yong Hee [ULZZANG]Je suis âgé(e) de : 33Mon nombre de récits postés sur le forum est de : 226Je suis présent(e) sur le forum depuis le : 26/02/2012
| Sujet: Re: Yang Ho Joo ~ Una Foto en Blanco y Negro Mar 8 Mai - 21:22 | |
| MA FEMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMME ♥ Rebienvenue sur le forum, je te préviens, aucune validation avant d'avoir fait tous tes rps èé c'est ta pénitence pour avoir cédé :p *pan* Tu connais la chanson et puis tu sais que je t'aime é.è ♥. Hâte qu'on puisse faire ce lien mignon ♥. |
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Yang Ho JooMannequin Mais IRP, j'ai pour avatar : Sin Gwang ChulJe suis âgé(e) de : 30Mon nombre de récits postés sur le forum est de : 33Je suis présent(e) sur le forum depuis le : 08/05/2012
| Sujet: Re: Yang Ho Joo ~ Una Foto en Blanco y Negro Jeu 10 Mai - 12:08 | |
| J'étaispersuadéd'avoirécritunpostpourdirequej'avaisfinio_o
MAFEMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMME que j'aime de tout mon coeur. me revoila, c'est toi qui m'a fait céder aussi, à faire un TC ici, enfin fortemennt influencé *pan* Oui, vivement qu'on se fasse un lien touuut mignon oui. éè
KAZUUUUUUUUUUUUUUUUUNE. ♥ merci ♥ à présent tu peux lire mon histoire, un peu compliqué mais. XD Merci éè
FAITHHHHH ♥ Merci, j'ai fini ma fiche mais merci eheh ♥ |
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Son Ji HoonPhotographe indépendant Mais IRP, j'ai pour avatar : Kim Do HoonJe suis âgé(e) de : 36Mon nombre de récits postés sur le forum est de : 114Je suis présent(e) sur le forum depuis le : 25/03/2012
| Sujet: Re: Yang Ho Joo ~ Una Foto en Blanco y Negro Jeu 10 Mai - 17:56 | |
| Félicitations !! Bienvenue parmi les unemployed♥ Il y a ceux qui travaillent lorsque le soleil est à son zénith et d'autres qui se mettent au travail lorsqu'eux se couchent : Barmans, hôtes, hôtesses, Mafieux. Il y a également ceux qui sont libres comme l'air, sans obligation, sans directives puisqu'ils sont leurs propres patrons. Eux aussi ont des rêves et des buts à atteindre, mais la route vers le bonheur est longue, voire même très longue. Dans tous les cas, te voici officiellement l'un des êtres libre de la ville. La vie est loin d'être aisée surtout quand on vit pas comme la société le voudrait mais c'est ta vie. Ton rêve t'attends au bout du tunnel qui sait ? A toi de faire en sorte que cela change ou perdure pour quelques années. File donc vite créer ton notebook, ton adresse mail - prend garde à qui tu la donnes, il manquerait plus que quelqu'un crake ton adresse pour balancer tous tes secrets dans le campus - et surtout ton logement ! Viens faire valoir ta place dans le monde en venant t'enregistrer dans la catégorie te concernant : monde du showbiz ou vie active en demandant ta place ici. Amuses-toi bien parmi nous & surtout n'oublie pas que quoiqu'il arrive tu continueras de briller parce que tu ne seras jamais seul ♥. |
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